– La situation des engagés Tonkinois sous contrat en Nouvelle-Calédonie et aux Nouvelles- Hébrides : d’une crise Tonkinoise à une crise permanente en Océanie >>
– Domination et résistances des engagés tonkinois en Nouvelle-Calédonie et dépendances, 1891-1960 >>
– De l’engagement comme « esclavage volontaire ». Le cas des Océaniens, Kanaks et Asiatiques en Nouvelle-Calédonie (1853-1963) >>
– Chronique d’une crise coloniale et son contexte : les Vietnamiens de Nouvelle-Calédonie (1945-1964) >>
– Les Vietnamiens : la communauté «laborieuse» de Nouvelle-Calédonie >>
– Người “Chân Đăng” ở Nouvelle Calédonie >>

Travailleuses indochinoises dans les plantations calédoniennes
Dans la deuxième moitié du XIXème siècle, après le boom du nickel de 1873, les colons de Nouvelle-Calédonie ont besoin de main d’œuvre. Faire travailler les canaques ayant toujours été compliqué, on a commencé à faire venir des travailleurs Néo-Hébridais, des Salomonais, ainsi que des Hindous, des Réunionnais. Puis c’est vers l’Asie proche et surpeuplée que les employeurs calédoniens vont se tourner. Ils firent d’abord venir des Chinois, via la Société Le Nickel, mais ceux-là n’ont pas été nombreux à vouloir s’installer en Nouvelle-Calédonie. Puis des Japonais, et enfin, des Javanais et Indochinois… Tiếp tục đọc “Les Vietnamiens : la communauté «laborieuse» de Nouvelle-Calédonie”







